Sur FaceBook Gabriel Duchesneau montre combien le retrait de certains faits historiques constitue une dérive. Il a raison et plaide pour un retour à des cours d'histoire tenant compte des intervenants présents lors des événements historiques qui ont façonné le Québec moderne. Puis, il ajoute :
"Il suffit de traiter de la vie des immigrants et des communautés autochtones aux Québec dans les cours. Par exemple dans mon cours d'histoire du Québec avant les rebellions on a traité de la condition Amérindiennes et des échanges commerciaux entre les colons Francophones et les Amérindiens, Des territoires comme les terres de Rupert qui leurs ont été saisies Par les Britanniques, suite a l'acte de Québec, leurs contributions commerciales qui sont devenues presque inexistante quand l'industrie du bois a pris de l'ampleur au début du IXe siècle. Et que la Gouvernance Britannique leur ont imposés l'autodétermination soit par des valeurs qui ne sont pas de leur culture tel l'agriculture et l'élevage."
Gabriel Duchesneau tient compte des communautés culturelles qui sont présentes dans le Québec actuel. Il Estime cependant qu'elles n'étaient pas toujours présentes à certaines périodes de notre histoire comme : - au moment de la création de la Nouvelle France - lors de la mise sur pied du Régime anglais - lors de la mise en oeuvre de la constitution canadienne. Donc nous n'avons pas a traiter de ces communautés dans les manuels d'histoire locale du Québec, avant leur présence historique. Puis il ajoute ce principe objectif et constructif :
"Il serait certainement intéressant de pouvoir découvrir comment les autres peuples intégrés vivaient, leur différences! Leur vision du Québec et du Canada. Il serait utile de rajouter un troisième cours au secondaire ou l'on parle de ces arrivants pourquoi ils viennent ici (voyages, intérêts personnels, réfugiés à cause de la guerre ou de la politique). Mais l'on doit continuer a leur enseigner en priorité notre histoire! Qui comprend les Amérindiens, les Français et les Anglais. Il y avait bien peu d'autres immigrants avant 1759. Il est aussi vrai que la déportation des Acadiens et comment ils vivaient n'était pas abordée dans l'ancien programme si je me fie à la formation élémentaire et secondaire que j'ai eu!"
Sur FaceBook Gabriel Duchesneau montre combien le retrait de certains faits historiques constitue une dérive. Il a raison et plaide pour un retour à des cours d'histoire tenant compte des intervenants présents lors des événements historiques qui ont façonné le Québec moderne. Puis, il ajoute :
ReplyDelete"Il suffit de traiter de la vie des immigrants et des communautés autochtones aux Québec dans les cours. Par exemple dans mon cours d'histoire du Québec avant les rebellions on a traité de la condition Amérindiennes et des échanges commerciaux entre les colons Francophones et les Amérindiens, Des territoires comme les terres de Rupert qui leurs ont été saisies Par les Britanniques, suite a l'acte de Québec, leurs contributions commerciales qui sont devenues presque inexistante quand l'industrie du bois a pris de l'ampleur au début du IXe siècle.
Et que la Gouvernance Britannique leur ont imposés l'autodétermination soit par des valeurs qui ne sont pas de leur culture tel l'agriculture et l'élevage."
Gabriel Duchesneau tient compte des communautés culturelles qui sont présentes dans le Québec actuel. Il Estime cependant qu'elles n'étaient pas toujours présentes à certaines périodes de notre histoire comme :
ReplyDelete- au moment de la création de la Nouvelle France
- lors de la mise sur pied du Régime anglais
- lors de la mise en oeuvre de la constitution canadienne. Donc nous n'avons pas a traiter de ces communautés dans les manuels d'histoire locale du Québec, avant leur présence historique. Puis il ajoute ce principe objectif et constructif :
"Il serait certainement intéressant de pouvoir découvrir comment les autres peuples intégrés vivaient, leur différences!
Leur vision du Québec et du Canada. Il serait utile de rajouter un troisième cours au secondaire ou l'on parle de ces arrivants pourquoi ils viennent ici (voyages, intérêts personnels, réfugiés à cause de la guerre ou de la politique). Mais l'on doit continuer a leur enseigner en priorité notre histoire! Qui comprend les Amérindiens, les Français et les Anglais. Il y avait bien peu d'autres immigrants avant 1759. Il est aussi vrai que la déportation des Acadiens et comment ils vivaient n'était pas abordée dans l'ancien programme si je me fie à la formation élémentaire et secondaire que j'ai eu!"